Des regards qui ne disent point ce qu’ils pensent, des sourires qui on le sent forcés juste pour se montrer aimables.
Il y’a des jours où l' on a envie de changer les mentalités pour pouvoir dire que le regard est franc.
La littérature a toujours tracé des traits, des caractères qui m’ont toujours poussé à se poser la question : S’agit-il de faits réels de sociétés ou s’agit-il d’une fiction, de personnages, juste inventés avec des personnalités récurrentes.
Quand, le roman est autobiographie, les doutes s’en volent, parce qu’avec l’écrivain, on fait un pacte de croire en ses mots : cela me rappelle un certain pacte autobiographique auxquels de grands critiques se réfèrent pour aller puiser toutes les clauses possibles pour une lecture des plus rassurantes des autobiographies. Vous allez me dire que l’on reste au stade d’analyse, mais à coût sûr, c’est d’ailleurs, et sans aucun doute de but de cet article !
Si on avance encore plus dans cette analyse et l’on ajoute à cette liste une étude sociologique : cela devient de plus en plus ciblé.
En effet, quand le sociologue lui-même se met à taxé la société maghrébine, de société de paraître : cela m’inquiète et renforce plus l’idée de la lectrice que je suis, qu’un sociologue ne s’amuse pas, et ne badine point avec des concepts tels que l’hypocrisie, dichotomie : être /paraître et la liste est longue.
Autre fait qui m’a toujours intéressée dans cette analyse et qui corrobore cette impression que j’ai dans cette quête de vérité : c’est qu’en plus du sociologue, l’universitaire s’en mêle aussi !
Quand des conférences ont pour thématique une société, c’est que cela devient un phénomène. Quand des séminaires ressassent, preuves à l’appui « des textes des plus fiables », que dans la fiction, il y’a une part de vérité qui est narrée, cela me laisse un peu perplexe devant l’unanimité de propos et des messages véhiculés.
La société maghrébine a fait l’objet de plusieurs études (Cf, Les Doctorats et Conférences à travers les universités et à travers le monde). Tous semblent, notez bien la nuance ici, que la société vit de paraître.
Le regard quand il se fait de l’intérieur est un regard qui à mon avis se veut objectif, preuve à l’appui les nombreuses études faites sur ce sujet.
Ce que j’entends par regard intérieur : c’est un regard porté par les spécialistes natifs des pays. Autre fait, il est intéressant de noter aussi ici et permettez moi de le citer en guise de conclusion, allons à le recherche de ce regard que porte un étranger sur cette société. Nombreux récits de voyages retracent certains traits qui ont marqué ces périples.
L’intérêt des études et des UFR se portent récemment sur l’étude : des guides de voyage, ils ont pris la forme de récit de voyage des temps moderne.
Une chose est certaine, l’unanimité des analyses, n’en déplaisent à certains d’entre nous.
Je voudrais tout de même ajouter ici que, à mon avis, il existe aussi des gens sincères qui sortent du lot.
Lynn